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LES SCÈNES DAMOUR Je vous ai compacté quelques scènes damour de mes nouvelles et de mes romans. Pour rêver un peu... ! ![]() Mes suppositions étaient bien réelles, elle possédait un corps de reine, une croupe cambrée et des seins ronds et fermes. Son sexe était pour moi une énigme, quelle ne mit que peu de temps à me faire découvrir, semparant du mien sans complexe. Ligne droite Il soulevait une tenture et, d’une brève pression sur un pan du mur, il déclenchait l’ouverture d’un étroit passage et descendait vers un escalier, qui devait disposer d’une centaine de marches. Puis, il empruntait un très long couloir, faiblement éclairé. La sortie était en pleine jungle, et lon pouvait apercevoir le palais. Quelques minutes plus tard, il atteignait un village et se glissait dans une maison. Une jeune femme, dune beauté inouïe, lattendait… Djamila… Elle se jetait dans ses bras et il lembrassait. Coup d’état Les premiers rayons du soleil réveillèrent Julie. Elle ouvrit les yeux, et se redressa, l’œil hagard. Elle mit quelques secondes à comprendre où elle se trouvait, et chercha son compagnon du regard. Il se tenait debout, torse nu, sur le tronc où était amarré le canot, et paraissait en pleine forme. Julie admira son torse musclé et, à cet instant, Ted Bradner se retourna. Safari Lydia était arrivée à ses fins, et Jacques se demanda sil avait bien fait de lui avouer son rêve. La caresse précise de son amie lui fit un instant oublier ses regrets, et il sabandonna. La jeune femme prit ses lèvres, dans une ultime jouissance, en gémissant de plaisir. Puis, elle sécarta doucement, et posa sa tête sur le torse de son amant. L’escalier Elle lui tendit la serviette, alors qu’il sécroulait sur la plage, épuisé, puis elle ôta ses propres vêtements et se coucha à ses côtés. — Si nous voulons que mon rêve se réalise, il nous reste quelque chose à faire, dès maintenant, murmura-t-elle, en lembrassant. Alors, la lune passa doucement devant le soleil, durant trois minutes et quarante cinq secondes, mais ils ne prirent pas le temps d’observer léclipse. Image numérique Laurent la serra très fort, et lembrassa doucement. Il naurait jamais osé penser que Stéphanie laimait aussi. — Jaurais du m’occuper de toi plus tôt. Maintenant, nous ne nous quitterons plus jamais. Le monospace Stéphane sapprocha et regarda le film. La femme, vue de dos avait de longs cheveux noirs qui descendaient jusquà la taille. Elle était plutôt grosse et on ne voyait que ses fesses rebondies, qui sactivaient fébrilement sur l’homme. Celui-ci semblait apprécier lexercice et devait vraisemblablement caresser les seins de sa partenaire. Un euro pas très franc — Allez, dormons maintenant, nous avons bien mérité un peu de repos. — Qui te parle de repos ? répondit la jeune femme, en lui tendant les bras. Jack Gamond souleva sa belle compagne et la porta sur la couchette, en lembrassant. — Daccord, mais promets-moi de dormir, après. La dernière lueur Elle caressa longuement son torse et descendit vers les abdominaux durs comme de lacier, puis doucement, elle défit son ceinturon, dégrafa le premier bouton de son jean et d’un geste brusque elle louvrit, libérant les derniers boutons, tout en le basculant sur le lit. Alors, elle lembrassa à pleine bouche, pendant que le jeune homme essayait vainement de retirer ses rangers. Son corps, léger comme une plume, dégageait une chaleur intense et Matthieu pensa quil n’aurait pas le temps de lui faire lamour, tellement il avait envie d’elle. Comme si elle lavait compris, elle relâcha sa pression et laida à retirer le reste de ses vêtements. Puis elle se glissa à nouveau sur lui. Piège virtuel En regardant les yeux voilés dIrea, tremblante, il comprit quelle avait ressentit une vague de plaisir hors du commun. Il la coucha sur le sable brûlant, et lui fit lamour brutalement. La jeune femme était déjà en plein orgasme. Il la prit jusquà la tombée de la nuit. Le soleil se couchait, dans un reflet doré, lorsquils se séparèrent, côte à côte sur le sable, épuisés. Rêve en rouge Antoine la suivit en riant et en lui laissant suffisamment d’avance pour quelle soit sûre de gagner. Lorsquil atteignit la berge, il la découvrit allongée, nue, sur le sable blanc… et son corps bronzé lui sauta au visage. Elle lui demanda, dans un murmure : — Toi aussi… ! Il ne se fit pas prier. Sa peau si douce avait un goût délicieusement salé. Le domaine des Cèdres À cet instant, Virginie déshabillait Antoine en le mordillant impatiemment. — Tu m’as manqué. Tu aurais pu me donner plus souvent de tes nouvelles, sale macho. Antoine se laissa faire en riant. Les vacances se présentaient bien et le corps bronzé de la belle Virginie était toujours aussi délicieux. La route du thé Elle lenveloppa complètement, lembrassant à nouveau, puis se coucha sur lui, cherchant sa bouche. Il répondit à son baiser et détendit ses bras, caressant la cambrure de son dos. — Tu as sûrement raison. Après une bonne nuit de sommeil, nous y verrons plus clair. Puis, dans un lent mouvement, il la pénétra doucement. La jeune femme accompagna sa progression, en gémissant, attentive. Le village des fleurs |
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